Z-Strain Infecté

Z-Strain — Le Virus de l’Infecté

Agent pathogène instable, origine inconnue, menace persistante sur l’archipel de Zenavia.

Présentation générale

Le Z-Strain est un agent infectieux d’origine inconnue, responsable de la catastrophe biologique ayant frappé plusieurs zones de l’archipel de Zenavia. Extrêmement agressif et instable, le virus est capable de provoquer différentes formes de mutations. Il ne s’est toutefois propagé que dans certaines zones isolées de l’archipel, notamment Aguera, Merilac, Nordstadt ou PixelMines, tandis que l’île principale — centre touristique et lieu du Zena Festival — est restée totalement intacte.

Origine du Z-Strain

L’origine exacte du virus demeure incertaine, mais les éléments retrouvés convergent tous vers ByteVault.corp, le géant pharmaceutique zenavien. Les archives retrouvées dans les serveurs du Bunker Principal indiquent que ByteVault menait, avant la Chute, des recherches confidentielles portant sur la réanimation cellulaire, la reconstitution tissulaire, la stimulation neuronale et un projet secret lié à un concept décrit comme une “régénération totale”. Certains rapports évoquent que le PDG, M. Tiernan, cherchait à “ramener la vie là où elle disparaît”.

Selon des documents internes, une fuite aurait contaminé plusieurs lots de médicaments expérimentaux et se serait répandue hors du cadre du laboratoire. Pourtant, les premières anomalies observées n’ont pas eu lieu dans les locaux de ByteVault, mais dans les mines de PixelMines. Des ouvriers y ont signalé des grognements provenant de galeries profondes, des squelettes se déplaçant debout, des silhouettes aquatiques et des créatures brûlées ressemblant à des pigmen. PixelMines a longtemps évoqué des “accidents de chantier”, mais des analyses internes mentionnaient déjà la présence d’une substance inconnue remontée des profondeurs.

Ainsi, ByteVault serait la source d’origine du virus, tandis que PixelMines en aurait été malgré elle le premier foyer observable.

Déclenchement de la pandémie

La propagation s’est accélérée juste après la chute du régime Tahyme. Dans les villes industrielles, les premiers cas ont été observés à travers des fièvres extrêmes, des altérations comportementales, des spasmes nerveux et une agressivité croissante. Puis, presque du jour au lendemain, les premières transformations se sont produites à Merilac, puis à Nordstadt et dans les zones minières de PixelMines.

Plusieurs villes furent touchées, notamment Merilac, Aguera, Nordstadt, PixelMines et certains quartiers de Whitewood, tandis que d’autres, comme l’île principale, le Zena Festival et les zones touristiques, restèrent entièrement préservées. Cette séparation explique aujourd’hui la coexistence d’un Zenavia festif et vivant, et d’un ensemble de zones corrompues où les survivants luttent contre le Z-Strain.

Symptômes

L’infection évolue en trois phases distinctes.

La première phase, dite d’incubation, provoque migraines, fièvre, frissons, et tremblements nerveux.

La deuxième phase entraîne des altérations comportementales, une agressivité croissante, des difficultés à parler et une perte progressive de conscience.

Enfin, la troisième phase marque la transformation complète. Les victimes perdent leur apparence humaine et adoptent l’une des formes caractéristiques : zombie classique, squelette ambulant, pigman brûlé ou noyé aquatique. Ces mutations correspondent exactement aux formes observées dans le scénario “Mutation” du mode Infecté.

Modes de transmission

Le virus se transmet principalement par contact direct, un simple coup pouvant suffire à infecter une personne, ce qui correspond en jeu au scénario “Contamination”.

Dans les environnements clos tels que les mines, la transmission peut se faire par voie aérienne.

Certains lots pharmaceutiques, produits par ByteVault, auraient transporté le virus avant la Chute, sans que cela ait été officiellement confirmé.

Enfin, plusieurs témoins ont rapporté la présence de lueurs vertes dans les égouts d’Int (EgoutZ) ou au port d’Aguera, souvent associées à une contamination active.

Mutations particulières

Si la majorité des victimes adoptent une forme classique d’infecté, certains cas rares ont été observés.

Les “cas Alpha” désignent des individus transformés partiellement, mais conservant une conscience humaine. Ces formes sont extrêmement dangereuses et mal comprises.

D’autres rumeurs évoquent des mutations animales, comme des chats infectés ou des poissons altérés, mais aucune preuve officielle n’a été confirmée, malgré plusieurs transmissions ambiguës reçues sur ZenaFM.

Lien avec les scénarios du mode Infecté

Plusieurs scénarios présents dans le jeu trouvent leur origine directement dans les propriétés du virus.

Le scénario Mutation correspond aux transformations imprévisibles de victimes du Z-Strain.

Contamination s’inspire de la transmission instantanée du virus par simple contact.

Vampire traduit la régénération cellulaire observée chez certains infectés.

Blackout et Glowing renvoient aux dérèglements neurologiques causés par le Z-Strain.

NoHeal reflète l’effondrement immunitaire provoqué par l’infection.

D’autres scénarios, comme Initial D, Swap ou Invisible, proviennent quant à eux du Projet Z.E.N.A. et non du virus, puisqu’ils ont été conçus artificiellement par l’IA pour analyser le comportement des survivants dans des situations extrêmes.

Mesures mises en place par les survivants

Après la propagation incontrôlée du virus, les survivants ont instauré des mesures strictes.

Les zones infectées ont été mises en quarantaine.

Les mines de PixelMines ont été scellées.

Les laboratoires de ByteVault ont été fermés de force.

Les civils ont été évacués vers un ancien complexe souterrain, devenu le Bunker Principal.

La Zone Infectée fut créée pour l’entraînement et la survie.

Enfin, l’activation du Projet Z.E.N.A. permit d’analyser et de classer les survivants selon leurs performances et leurs mutations potentielles.

Statut actuel

Aujourd’hui encore, le Z-Strain demeure actif dans plusieurs zones isolées de l’archipel.

Le Bunker Principal, surveillé par l’intelligence artificielle Z.E.N.A., continue d’étudier les mouvements des infectés, l’apparition de nouvelles mutations et les comportements des survivants. Aucun remède officiel n’existe, et s’il en existe un officieusement, il reste inaccessible au public.