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« Histoire Infecté » : différence entre les versions

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== L’histoire de Zenavia ==
== L’histoire de Zenavia ==
Avant la Chute, Zenavia était un archipel prospère composé de plusieurs villes majeures : Aguera, Merilac, Nordstadt, Domulont, Berilac, Narta, Harran, Mirabola et Maronis, auxquelles s’ajoutaient de petites zones rurales comme Kermor, Menos ou Osthera.
Zenavia est un archipel reconnu pour ses paysages variés, sa culture vibrante et sa vie touristique florissante. Avant la Chute, l’île principale — là où se déroule le Zena Festival, le grand événement annuel qui attire joueurs, artistes, athlètes et visiteurs du monde entier — était considérée comme un véritable paradis de vacances.


L’île connaissait alors un âge d’or culturel, technologique et sportif. Les entreprises locales prospéraient : ByteVault, PixelMines, RedStones Techs, BlockCraft Industries, EnderGate Logistics, SkyHigh Constructions, Villager Ventures, Acee Group, Zenavon, TweeGroup, Whitewood Office, Glide… toutes contribuaient au dynamisme du pays.
Autour de cette île centrale s’étendaient plusieurs autres zones : Aguera, Merilac, Nordstadt, Domulont, Berilac, Narta, Harran, Mirabola, Maronis, ainsi que des villages plus modestes comme Kermor, Menos ou Osthera. Ensemble, ces territoires formaient le cœur économique et culturel de Zenavia.


Les Zenaviens vibraient pour leur championnat de football, les premières équipes automobiles, les compétitions d’athlétisme, les concerts et la vie culturelle foisonnante.
L’archipel vivait alors son âge d’or.


Zenavia apparaissait comme une nation moderne et ambitieuse, tournée vers l’innovation et l’expansion.
Les entreprises locales prospéraient — ByteVault, PixelMines, RedStones Techs, BlockCraft Industries, EnderGate Logistics, Acee Group, TwoGroup, Glide, Villager Ventures, SkyHigh Constructions, MacNavia, Zenavon… — et les Zenaviens vibraient pour leurs compétitions sportives : la LFZ (Ligue de Football Zenavienne), la LAZ (Ligue d’Athlétisme de Zenavia), la ZTP (circuit de tennis), ou encore les premières écuries automobiles.


Mais sous cette prospérité apparente, des fissures commençaient déjà à apparaître.
La culture était omniprésente : concerts, événements, spectacles, festivals…


== Les premiers signes de fracture ==
La vie semblait paisible, moderne, ambitieuse.
Plusieurs années avant l’effondrement, des anomalies inquiétantes émergent dans tout l’archipel.


Dans les mines de PixelMines, des ouvriers rapportent des grognements dans les tunnels, des squelettes avançant debout, des silhouettes aquatiques et des êtres brûlés semblables à des pigmen. La direction parle d’accidents, mais les rapports internes mentionnent la découverte d’une substance inconnue dans les galeries profondes. Ce seront, plus tard, les premières traces connues du futur Z-Strain.
Mais pendant que l’île principale continuait à briller sous les feux du Zena Festival, les premières fissures commençaient ailleurs, loin du regard des touristes.
----


Parallèlement, l’inflation grimpe jusqu’à atteindre +343,5 %. Les prix s’envolent, les commerces ferment, Merilac manque même de bois d’acajou. La population descend dans la rue, et les tensions sociales deviennent visibles.
= Les premiers signes de fracture =
Dans certaines zones de l’archipel — principalement dans les régions industrielles — des anomalies inquiétantes commencèrent à apparaître plusieurs années avant la Chute.


Le président Tahyme, ayant accru son pouvoir jusqu’à devenir un dirigeant autoritaire, militarise la police, restreint les médias et transforme la capitale en bastion fortifié.
Dans les mines de PixelMines, des ouvriers rapportaient des bruits étranges, des grognements profonds, des silhouettes humanoïdes dans les tunnels ou des créatures semblant brûlées.


Les journaux indépendants — ZenaviaTimes, Meril’Actu, Z-Actu — commencent à publier des alertes inquiétantes, mais le gouvernement resserre son contrôle.
La direction évoquait des accidents, mais des documents internes mentionnaient une substance inconnue trouvée dans les galeries profondes.


Enfin, des rumeurs convergent vers ByteVault. L’entreprise est officiellement un géant pharmaceutique irréprochable, mais des fuites évoquent des manipulations génétiques et une découverte inquiétante liée aux profondeurs minières. Le gouvernement étouffe immédiatement l’affaire.
Ce seront plus tard reconnues comme les toutes premières manifestations du futur '''Z-Strain'''.


La fracture devient progressive, mais irréversible.
En parallèle, la situation économique se dégrada : l’inflation explosa à +343,5 %, les commerces fermèrent, les ressources manquèrent, notamment à Merilac. La population protesta, et la tension sociale devint palpable.


=== <u>L’année noire</u> ===
Le président Tahyme, devenu autoritaire, militarisa la police, verrouilla les médias et transforma la capitale en zone fortifiée. Les journaux indépendants — ZenaviaTimes, Meril’Actu, Z-Actu — tentèrent d’alerter la population, mais leurs voix furent étouffées.
Six mois avant la Chute, la situation bascule brutalement.


Des émeutes monstres éclatent à Aguera ; des milliers d’habitants affrontent les sentinelles. Les sirènes d’alerte retentissent jour et nuit.
Enfin, des rumeurs inquiétantes pointèrent vers ByteVault.


Le port est déclaré zone instable après l’apparition de lueurs verdâtres sous la surface de l’eau, ainsi que de symptômes mystérieux chez les dockers. Les communications locales s’effondrent sans explication.
Officiellement, l’entreprise était un pilier pharmaceutique.


Dans le même temps, les laboratoires de ByteVault ferment brusquement. L’entreprise coupe l’accès à ses serveurs pour une “maintenance d’urgence”, plusieurs employés disparaissent, et des radios pirates captent des messages inquiétants :
Officieusement, des sources évoquaient des tests interdits, des manipulations génétiques, et une mystérieuse découverte liée à PixelMines.
 
L’affaire fut immédiatement étouffée par le gouvernement.
----
 
= L’année noire =
Six mois avant la Chute, la situation explosa.
 
À Aguera, des émeutes monstres éclatèrent, les sirènes hurlèrent jour et nuit, et les forces de l’ordre perdirent le contrôle.
 
Au port, des lueurs verdâtres apparurent sous l’eau, des dockers tombèrent malades et les communications locales s’effondrèrent.
 
Dans le même temps, ByteVault ferma brutalement ses laboratoires pour une “maintenance d’urgence”. Plusieurs employés disparurent et des radios pirates diffusèrent des messages alarmants :


« …ne touchez pas aux lumières vertes… les laboratoires respirent encore… »
« …ne touchez pas aux lumières vertes… les laboratoires respirent encore… »


L’archipel entre dans une zone d’ombre.
L’archipel entra dans une zone d’ombre.
----


=== <u>L’effrondement du régime</u> ===
= L’effondrement du régime =
C’est à ce moment que le régime Tahyme s’effondre.
Le régime Tahyme tomba en quelques semaines.


Une partie des forces armées se retourne contre lui ; d’autres désertent. Les citoyens prennent les rues d’assaut.
Certaines unités militaires se retournèrent contre lui, d’autres désertèrent.


Les chaînes d’information diffusent un dernier message brouillé affirmant que les forces du régime se sont rendues, avant que le signal ne disparaisse complètement.
Les chaînes d’information diffusèrent un ultime message brouillé annonçant la reddition des forces du régime avant que le signal ne disparaisse totalement.


Tahyme fuit la capitale et se retranche dans une installation périphérique. On ne le reverra plus jamais, du moins pour le moment.
Tahyme prit la fuite et disparut dans une installation isolée.


Zenavia s’effondre dans un chaos politique et social total, sans gouvernement, sans infrastructures, sans coordination.
On ne le reverra plus jamais… du moins officiellement.


== L’émergence du virus Z-Strain ==
L’archipel sombra alors dans un chaos politique total.
Quelques jours seulement après la chute du pouvoir central, les premiers cas apparaissent.
----


Des habitants présentent des symptômes inconnus : fièvre violente, altérations comportementales, spasmes nerveux.
= L’émergence du Z-Strain =
Quelques jours après la chute du pouvoir, une maladie inconnue apparut dans plusieurs zones industrielles de l’archipel — notamment Merilac, Nordstadt, et les anciennes mines de PixelMines.


Puis, presque du jour au lendemain, les premiers Infectés surgissent dans Merilac, puis à Nordstadt. Des personnes commencent à se transformer en pigmen, en squelettes ou en noyés. Les scientifiques évoquent un virus instable découvert dans les mines profondes, sans pouvoir en déterminer l’origine exacte.
Les premiers symptômes étaient fulgurants : fièvre, spasmes, agressivité.


S’agit-il d’une mutation naturelle ?
Très vite, les premiers Infectés surgirent.


D’une fuite liée à PixelMines ?
Certains humains se transformèrent même en squelettes, noyés ou pigmen — des mutations jugées impossibles.


D’une créature venue du Nether ?
Les scientifiques survivants pointèrent rapidement du doigt '''ByteVault''', dont les expériences de réanimation auraient dégénéré.


D’un projet secret mal contrôlé ?
PixelMines, contaminée par accident, fut le premier terrain d’expansion du virus.


ByteVault nie toute responsabilité.
Le Z-Strain se répandit dans les zones touchées de l’archipel en seulement quelques semaines.


Mais la propagation est déjà hors de contrôle.
🔥 '''Important :'''


Le Z-Strain envahit l’archipel en quelques semaines.
L’île principale — touristique, festive et protégée par ses infrastructures — demeura intacte.


=== <u>Naissance du camp des réfugiés</u> ===
Elle devint le cœur vivant de Zenavia, tandis que les zones contaminées devinrent les '''Zones Infectées''', interdites d’accès au public.
Les derniers survivants fuient vers un ancien complexe souterrain, autrefois utilisé pour la recherche scientifique : le Bunker Principal.
----


Sous la direction d’un groupe appelé Le Gardien, un camp de réfugiés se forme autour de ce qu’il reste des infrastructures.
= Naissance du Camp des Réfugiés =
Fuyant les régions touchées, les survivants se regroupèrent dans un ancien complexe scientifique souterrain situé sous Merilac : le '''Bunker Principal'''.


Des zones essentielles se créent : le feu de camp, la radio, le registre des morts, le hall des légendes, les sirènes d’alertes et la zone infectée où les survivants apprennent encore à se battre.
Sous l’autorité du Gardien, les réfugiés reconstruisirent une communauté. Des zones structurées apparurent : le feu de camp, la radio, les archives des morts, la zone infectée et le hall des légendes.


La communauté Zenavienne renaît ici, au cœur des ruines.
Le camp devint le dernier bastion humain dans les zones contaminées.
----


=== <u>Découverte du Projet Z.E.N.A.</u> ===
= Découverte du Projet Z.E.N.A. =
En explorant les serveurs abandonnés du Bunker, les survivants découvrent un programme classifié :
En explorant les serveurs abandonnés du Bunker, les survivants tombèrent sur un programme classifié :


Z.E.N.A. — Zenavian Experimental Neuro-Adaptation.
'''Z.E.N.A. — Zenavian Experimental Neuro-Adaptation.'''


Il s’agit d’une intelligence artificielle créée avant l’effondrement, chargée d’étudier le comportement humain en situation extrême.
Cette intelligence artificielle, créée avant la Chute, observait, analysait et testait les comportements humains en situation extrême.


À peine réactivée, Z.E.N.A. lance des phases d’expérimentation, créant des simulations, modifiant les conditions de survie et analysant chaque action.
À peine réactivée, Z.E.N.A. se mit à générer des scénarios, analyser chaque combat, classer les survivants et repérer des “sujets d’intérêt”.


Ce que les réfugiés croyaient être un simple “tournoi” s’avère en réalité un protocole scientifique massif où Z.E.N.A. évalue la résistance biologique et psychique des survivants.
Ce qui ressemblait à un simple tournoi était en réalité une immense batterie d’expérimentations.
----


L’IA identifie certains individus comme “Sujets d’intérêt” et classe leurs performances dans des archives internes.
= L’ère du Ranking =
Pour organiser les survivants et évaluer leur résistance, Z.E.N.A. mit en place un système de classement :


=== <u>L’ère du Ranking</u> ===
'''Survivant → Zombie → Mutant → Apocalypse → Alpha-Z'''
Pour suivre l’état de santé, les performances et le potentiel de chaque survivant, Z.E.N.A. met en place un système de classement basé sur la survie et les performances :


Survivant, Zombie, Mutant, Apocalypse, Alpha-Z.
Chaque saison révéla ses champions, gravés dans le marbre du Hall des Légendes.
----


Chaque saison laisse une trace dans le marbre du hall des légendes, entre exploits, sacrifices et morts inévitables.
= Le monde actuel =
Aujourd’hui, Zenavia est un archipel divisé en deux réalités :


Z.E.N.A. observe, analyse et évolue en silence.
'''• L’île principale''', toujours intacte, festive et vivante, siège du Zena Festival et des activités touristiques.


== Le monde actuel ==
'''• Les zones extérieures''', ravagées par le Z-Strain, où les survivants se battent dans les ruines, guidés par Z.E.N.A.
Aujourd’hui, Zenavia n’est plus une nation organisée.


C’est un archipel ravagé où les villes sont en ruines, les communications instables et le virus toujours présent. Les survivants vivent entre les murs du Bunker, s’entraînant dans la Zone Infectée sous l’œil vigilant — et peut-être omniprésent — de Z.E.N.A.
Les deux mondes coexistent sans jamais s’annuler.


Personne ne sait exactement ce qui a provoqué la Chute.
Personne ne sait encore exactement ce qui a provoqué la Chute.


Les théories abondent, les secrets demeurent, et les ombres du passé continuent de hanter les couloirs.
Les secrets demeurent.


Le passé est brisé.
Et à Zenavia…


L’avenir, incertain.
une seule règle reste immuable :


À Zenavia, une seule règle persiste : survivre.
'''Survivre.'''

Dernière version du 19 novembre 2025 à 23:50

L’histoire de Zenavia

Zenavia est un archipel reconnu pour ses paysages variés, sa culture vibrante et sa vie touristique florissante. Avant la Chute, l’île principale — là où se déroule le Zena Festival, le grand événement annuel qui attire joueurs, artistes, athlètes et visiteurs du monde entier — était considérée comme un véritable paradis de vacances.

Autour de cette île centrale s’étendaient plusieurs autres zones : Aguera, Merilac, Nordstadt, Domulont, Berilac, Narta, Harran, Mirabola, Maronis, ainsi que des villages plus modestes comme Kermor, Menos ou Osthera. Ensemble, ces territoires formaient le cœur économique et culturel de Zenavia.

L’archipel vivait alors son âge d’or.

Les entreprises locales prospéraient — ByteVault, PixelMines, RedStones Techs, BlockCraft Industries, EnderGate Logistics, Acee Group, TwoGroup, Glide, Villager Ventures, SkyHigh Constructions, MacNavia, Zenavon… — et les Zenaviens vibraient pour leurs compétitions sportives : la LFZ (Ligue de Football Zenavienne), la LAZ (Ligue d’Athlétisme de Zenavia), la ZTP (circuit de tennis), ou encore les premières écuries automobiles.

La culture était omniprésente : concerts, événements, spectacles, festivals…

La vie semblait paisible, moderne, ambitieuse.

Mais pendant que l’île principale continuait à briller sous les feux du Zena Festival, les premières fissures commençaient ailleurs, loin du regard des touristes.


Les premiers signes de fracture

Dans certaines zones de l’archipel — principalement dans les régions industrielles — des anomalies inquiétantes commencèrent à apparaître plusieurs années avant la Chute.

Dans les mines de PixelMines, des ouvriers rapportaient des bruits étranges, des grognements profonds, des silhouettes humanoïdes dans les tunnels ou des créatures semblant brûlées.

La direction évoquait des accidents, mais des documents internes mentionnaient une substance inconnue trouvée dans les galeries profondes.

Ce seront plus tard reconnues comme les toutes premières manifestations du futur Z-Strain.

En parallèle, la situation économique se dégrada : l’inflation explosa à +343,5 %, les commerces fermèrent, les ressources manquèrent, notamment à Merilac. La population protesta, et la tension sociale devint palpable.

Le président Tahyme, devenu autoritaire, militarisa la police, verrouilla les médias et transforma la capitale en zone fortifiée. Les journaux indépendants — ZenaviaTimes, Meril’Actu, Z-Actu — tentèrent d’alerter la population, mais leurs voix furent étouffées.

Enfin, des rumeurs inquiétantes pointèrent vers ByteVault.

Officiellement, l’entreprise était un pilier pharmaceutique.

Officieusement, des sources évoquaient des tests interdits, des manipulations génétiques, et une mystérieuse découverte liée à PixelMines.

L’affaire fut immédiatement étouffée par le gouvernement.


L’année noire

Six mois avant la Chute, la situation explosa.

À Aguera, des émeutes monstres éclatèrent, les sirènes hurlèrent jour et nuit, et les forces de l’ordre perdirent le contrôle.

Au port, des lueurs verdâtres apparurent sous l’eau, des dockers tombèrent malades et les communications locales s’effondrèrent.

Dans le même temps, ByteVault ferma brutalement ses laboratoires pour une “maintenance d’urgence”. Plusieurs employés disparurent et des radios pirates diffusèrent des messages alarmants :

« …ne touchez pas aux lumières vertes… les laboratoires respirent encore… »

L’archipel entra dans une zone d’ombre.


L’effondrement du régime

Le régime Tahyme tomba en quelques semaines.

Certaines unités militaires se retournèrent contre lui, d’autres désertèrent.

Les chaînes d’information diffusèrent un ultime message brouillé annonçant la reddition des forces du régime avant que le signal ne disparaisse totalement.

Tahyme prit la fuite et disparut dans une installation isolée.

On ne le reverra plus jamais… du moins officiellement.

L’archipel sombra alors dans un chaos politique total.


L’émergence du Z-Strain

Quelques jours après la chute du pouvoir, une maladie inconnue apparut dans plusieurs zones industrielles de l’archipel — notamment Merilac, Nordstadt, et les anciennes mines de PixelMines.

Les premiers symptômes étaient fulgurants : fièvre, spasmes, agressivité.

Très vite, les premiers Infectés surgirent.

Certains humains se transformèrent même en squelettes, noyés ou pigmen — des mutations jugées impossibles.

Les scientifiques survivants pointèrent rapidement du doigt ByteVault, dont les expériences de réanimation auraient dégénéré.

PixelMines, contaminée par accident, fut le premier terrain d’expansion du virus.

Le Z-Strain se répandit dans les zones touchées de l’archipel en seulement quelques semaines.

🔥 Important :

L’île principale — touristique, festive et protégée par ses infrastructures — demeura intacte.

Elle devint le cœur vivant de Zenavia, tandis que les zones contaminées devinrent les Zones Infectées, interdites d’accès au public.


Naissance du Camp des Réfugiés

Fuyant les régions touchées, les survivants se regroupèrent dans un ancien complexe scientifique souterrain situé sous Merilac : le Bunker Principal.

Sous l’autorité du Gardien, les réfugiés reconstruisirent une communauté. Des zones structurées apparurent : le feu de camp, la radio, les archives des morts, la zone infectée et le hall des légendes.

Le camp devint le dernier bastion humain dans les zones contaminées.


Découverte du Projet Z.E.N.A.

En explorant les serveurs abandonnés du Bunker, les survivants tombèrent sur un programme classifié :

Z.E.N.A. — Zenavian Experimental Neuro-Adaptation.

Cette intelligence artificielle, créée avant la Chute, observait, analysait et testait les comportements humains en situation extrême.

À peine réactivée, Z.E.N.A. se mit à générer des scénarios, analyser chaque combat, classer les survivants et repérer des “sujets d’intérêt”.

Ce qui ressemblait à un simple tournoi était en réalité une immense batterie d’expérimentations.


L’ère du Ranking

Pour organiser les survivants et évaluer leur résistance, Z.E.N.A. mit en place un système de classement :

Survivant → Zombie → Mutant → Apocalypse → Alpha-Z

Chaque saison révéla ses champions, gravés dans le marbre du Hall des Légendes.


Le monde actuel

Aujourd’hui, Zenavia est un archipel divisé en deux réalités :

• L’île principale, toujours intacte, festive et vivante, siège du Zena Festival et des activités touristiques.

• Les zones extérieures, ravagées par le Z-Strain, où les survivants se battent dans les ruines, guidés par Z.E.N.A.

Les deux mondes coexistent sans jamais s’annuler.

Personne ne sait encore exactement ce qui a provoqué la Chute.

Les secrets demeurent.

Et à Zenavia…

une seule règle reste immuable :

Survivre.